En ce soir d’été,
Je me suis promenée,
Avec en tête de tristes pensées,
Qui ne m’avaient pas quittée,
Puis je t’ai appelée Aphrodite,
Pour que tu m’apportes l’amour que je mérite,
Et alors assise sur ton trône d’or,
Tu m’as entendue cette fois encore,
Aussi soudain un homme est apparu,
Tel Apollon dans la rue,
Regard perçant, voix sensuelle,
Il s’est mis à parler de la merveille,
Qu’il venait de rencontrer,
Au hasard d’un soir d’été,
Alors nous sommes partis vers la mer,
Où il se promenait à mes côtés très fier,
Et il a posé sur ma bouche…
Claire.