Un jour pour Aphrodite j’ai dédaigné Eros,
D’une beauté fugitive elle m’a aussitôt captivé,
Et depuis je n’ai eu de joie et d’angoisse qu’en elle,
Car tu as su enchaîner mon coeur, captiver mon esprit ma belle,
Lorsqu’une flamme inattendue a couru dans mes veines,
Alors j’ai su goûter de ton corps les merveilles,
J’ai joui du plaisir de te voir sourire et t’entendre parler,
Et aucun dieu dans mon bonheur ne pouvait t’égaler,
Un frisson m’a saisi et tu as emporté mon coeur,
Seulement cette nuit où naquit ce bonheur…
Claire.